DANS LA POUSSIERE DES ETOILES (1976)

L'histoire

Ayant reçu un appel de détresse provenant de la planète TEM4, le vaisseau spatial Cyrno parvient à s’y rendre, non sans difficultés. Sur place, on fait comprendre à l’équipage qu’il s’agissait d’une erreur. Le chef de la planète invite alors tous les membres du Cyrno à une fête. Seul Suko reste méfiant, et à juste titre : les mines de TEM4 ont besoin d’esclaves…


L'AVIS DE SF-STORY***

POINTS POSITIFS ET NEGATIFS

+  Le dernier film de science-fiction de la DEFA, une production est-allemande atypique et bien ancrée dans les années 70, un Barbarella marxiste.

- Assez daté et kitsch, un western spatial psychédélique par moments seulement !

 

 

Une production DEFA

 

Dans la poussière des étoiles (Im Staub der Sterne) est un film de science-fiction est-allemand réalisé par Gottfried Kolditz en 1976 et produit par les studios DEFA. Il est le dernier film de la tétralogie de science-fiction tournés par le studio après L'Étoile du silence/Der schweigende Stern (1960), Signal, une aventure dans l'espace/Signale – Ein Weltraumabenteuer (1961) et Eolomea (1972). A la vue du film on pourrait le qualifier de space opéra social !

L’histoire met en scène une équipe d'astronautes répondant à un appel de détresse sur une planète mystérieuse, est empreinte de mystère et de tension. La découverte d’une société utopique en surface qui cache des esclaves opprimés apporte un texte sous-jacent social et politique intéressant.

Le film se démarque par son design rétro-futuriste très marqué années 70, incluant des costumes extravagants, des décors très colorés et des effets visuels psychédéliques. Les tenues des cosmonautes de l'équipage du Cynro ressemblent beaucoup à la tenue de Casimir dans l'Ile aux enfants ! Ces éléments reflètent l’audace artistique propre aux productions DEFA, bien qu'aujourd'hui très datés. 

Proche d'un épisode de Star Trek

 

Le film aborde des thèmes comme l’exploitation, la manipulation des masses et les illusions de paradis artificiels. Ces aspects sont une métaphore des régimes autoritaires et des promesses utopiques de l’époque véhiculées par les pays communistes du bloc de l'Est. Malheureusement, l'intrigue souffre d'un scenario assez peu fouillé, proche du schéma scénaristique de plusieurs épisodes de Star Trek : l'équipage découvre un monde utopique et idéalisé cachant en fait un terrible secret. Le début du film n'est pas sans rappeler non plus le chef d'oeuvre Planète Interdite (1956) de Fred McLeod Wilcox : l'équipage n'est pas accueilli par Robby le robot mais par un camion à l'allure humoristique et là aussi la planète cache un mystère. 

Dans la poussière des étoiles sera d'ailleurs le seul des quatre films de SF de la DEFA qui ne soit pas tiré d'une oeuvre littéraire. Bien que créatifs, les effets spéciaux, typiques des années 1970, peuvent paraître désuets et limitent l’impact visuel. L’approche parfois contemplative du réalisateur Gottfried Kolditz nuit à l’intensité du récit, et les interactions entre les personnages manquent de profondeur.

Costumes et décors extravagants

 

S'il y a peu d'effets spéciaux, les studios n'ont pas lésiné sur les costumes et les décors. Les acteurs principaux seront vêtus de plusieurs tenues en fonction des scènes : il est vrai que le département costumes de DEFA comptait plus de quatre-vingts couturières. Le look est très daté seventies, proche de la pochette d'un 33 tours d'ABBA. La palme pour la tenue de Brecht Ekkehard Schall qui interprète Le chef des Témiens et à ses acolytes arborant des tenues cuir proches de ceux d'un cabaret sadomasochiste. 

Les décors sont aussi très colorés, notamment lors de la scène de la fête de réception Témienne, ou dans la salle du Chef aux miroirs exacerbant le narcissisme du despote, malheureusement on voit aussi nettement les plis dans le linoléum rouge au sol ! 

Social Space Opera

 

Lorsque l’équipage apprend finalement que les Témiens, "ces gens sympathiques et joyeux", ont envahi la planète qui appartenait autrefois aux Turis et qu'ils ont été réduits en esclavage, le film devient un space opera social. Les colonisateurs sont l'image de l'occident impérialiste, soucieux de ses intérêts au mépris des peuples conquis. Le capitalisme est une source de décadence morale symbolisée ici par le leader Temien, instable et excentrique. Pour preuve il arbore des cheveux diversement colorés et des tenues bariolées ! Scène à retenir :  celle où le despote entreprend de jouer la sérénade à la commandante sur un orgue électronique figuré par une planche bardé de lumières de guirlande de Noël. Non seulement les dirigeants capitalistes sont dégénérés mais en plus ils n'ont aucun goût ! 

L'utopie marxiste doit donc voler au secours du peuple Turis opprimé et lui donner les instruments idéologiques de la révolte.  

La femme est l'avenir de l'homme

 

Autre aspect idéologique véhiculé par le film est celle de la place de la femme dans cette société : l'équipage du vaisseau Cynro est majoritairement féminin, composé de quatre femmes et deux hommes, et la commandante est une femme, sans qu'à aucun moment soit remis en question son statut. Mieux encore, lorsqu'elle se mettra à douter lors de la décision de partir ou de secourir les Turis (dans une scène elle se met même à pleurer), elle prendra les avis des différents membres de l'équipage.

Dans le monde communiste, le chef ne prend pas ses décisions de manière arbitraire, elle consulte et avise : une belle leçon au monde capitaliste et autoritaire !

Liberté sexuelle

 

La liberté de mœurs ne fait pas de place au doute chez les Cynroens : même la commandante n'a pas besoin de cacher ses charmes féminins. La scène où elle prend sa douche devant le navigateur Suko puis lorsqu'elle fait un volte face accroupie devant lui, procédé utilisé bien plus tard par Sharon Stone dans Basic Instinct montrent bien que le nudité est acceptée par la morale marxiste.  Visiblement, il n'y a pas non plus d'exclusivité sexuelle : Suko est l'amant de Miu et d'Akala, Dans une autre scène, Miu semble également aimer une autre femme membre de l'équipage. 

Nous aurons même droit à une scène voyeuriste purement gratuite (vers la ⌚ 33ème minute), mais du plus bel de effet, de Miu, seule dans sa cabine, dansant à contre jour !

 

Au final, Dans la poussière des étoiles possède une esthétique audacieuse et une critique sociale implicite, mais il souffre de limitations techniques (peu d'effets spéciaux) et narratives (le rythme est lent et le scénario trop lisse). Par son aspect space opera social à replacer dans son contexte, il reste cependant une curiosité pour les amateurs de science-fiction et les cinéphiles intéressés par les productions SF de l'Allemagne de l'Est des années 70. Une belle découverte !

HORS-CHAMP*

Contexte géopolitique à la sortie du film

 

Lorsque le film sorte en Allemagne de l'Est, le régime politique.

est encore fortement dépendant de l'Union soviétique pour son soutien politique, économique, et militaire. Le contrôle de la population était assuré par une surveillance massive de la police secrète, la Stasi. Dans le film, la scène où le navigateur Suko (Alfred Struwe) écoute les conversations des Témiens fait largement écho à ces pratiques de surveillance que la Stasi utilisaient. Les dissidents sont réprimés et la propagande met en avant le succès économique et social du socialisme, malgré une réalité de pénuries et une économie planifiée rigide.

Le mur de Berlin symbolise la séparation physique et idéologique avec l'Allemagne de l'Ouest. 

En Roumanie, le régime de Nicolae Ceaușescu, au pouvoir depuis 1965, se distingue par son éloignement relatif de Moscou, poursuivant une politique étrangère indépendante en développant des relations économiques et diplomatiques avec l’Occident, Malgré cette autonomie apparente, le régime restait un État communiste autoritaire, réprimant les dissidents et exerçant un strict contrôle des médias et de la société. Cependant, dans les deux pays, la population est confrontée à des régimes répressifs, limitant les libertés individuelles et accentuant le contrôle étatique. Dans le film, on se demande d'ailleurs si la multitude des figurants visibles dans la mine ou lors de la révolte ne seraient pas des prisonniers politiques facilement corvéables à merci !

Tournage en Roumanie

 

Peter Süring, le directeur de la photographie avait déclaré dans une interview que les premières scènes du film avaient été tournées en Roumanie dans la région de Berca : ce sont les scènes des volcans de boue et les mines de sel de Turda où elles ont été tournées. Ces sites sont aujourd'hui les plus visités de Roumanie. Le tournage s'est poursuivi à Buftea, ville au nord-ouest de Bucarest où se trouvent de nos jours les studios de MédiaPro Pictures, devenue la plus grande société de production cinématographique et télévisuelle roumaine.

Doté d'un budget de 4,3 M DM (moins que Signal tourné quelques années auparavant), le film a réunira environ 800 000 spectateurs au cours des treize premières semaines d'exploitation en Allemagne. 

DEFA...

 

Le film est produit par la DEFA (diminutif de Deutsche Film AG), ancien studio et centre de production cinématographique public de la République démocratique allemande (RDA), fondé en 1946. Il fut dissous en tant que monopole d'État à partir de 1990, au moment de la réunification des deux Allemagne. Au sortir de la seconde guerre mondiale, les soviétiques impulsent une relance de  la production cinématographique dans leur zone d'occupation: le cinéma est le meilleur support de propagande. Puis en 1950, peu après la fondation de la RDA, l'entreprise devient propriété de l'État est-allemand.

Jusqu'en 1990, la DEFA produira plus de 850 films et autant de films d'animations.

... et DEFA Futurum

 

Dans le pré-générique du film, une mention apparait : le film est produit par Defa Futurum. Ce nom était la dénomination d'un droupe de travail artistique du Studio DEFA qui a existé de 1971 à 1981 sous la direction du réalisateur Joachim Hellwig. L'objectif de travail était d'accompagner la production cinématographique en RDA, en réunissant des artistes du 7ème art et des scientifiques pour évoquer un futur véhiculant un message politique idéologique. Plusieurs films furent produits utilisant le concept dont Dans la poussière des étoiles. Un autre film de SF signé DEFA Futurum vit le jour : La chose dans le château /  (1979), tourné également pas Gottfried Kolditz. L'histoire se passe dans une sorte de maison de retraite-prison où certains détenus ont construit une machine à voyager dans le temps qui leur permet de rajeunir... malheureusement le film est introuvable.

Dès les années 70, les téléspectateurs est-allemand peuvent capter les chaînes occidentales où plusieurs séries occidentales de science-fiction sont diffusées : la série britannique UFO (1970-71), la série allemande inédite en France Alpha Alpha (1972), la série américaine Star Trek et l'anglo-italienne Cosmos 1999 (1972). la concurrence est rude... Un an après Dans la poussière des étoiles, le film Star Wars (1977) de George Lucas révolutionnera le genre se donnant plus d'une longueur d'avance sur la production cinématographique SF du bloc de l'Est.

Tout comme les membres de l'équipage du Cynro que l'on voit dans le seul essai de split-screen du film, les populations de l'Est seront sont hypnotisés au milieu de la tête à coups de lasers sur le front.  

Casting international

 

Le casting casting du film est international. L'actrice tchèque Jana Brejchová, qui interprète la commandante Akala (à droite sur la photo) est devenue l'actrice la plus célèbre de l'ex-Tchécoslovaquie, au point qu'on la surnommait on l'appelait la Bardot tchèque, dans les années soixante elle s'est mariée avec le réalisateur Miloš Forman

Léon Niemczyk (à gauche sur la photo) qui joue l'analyste facétieux Thob est un acteur polonais depuis les années 50 et a tourné avec tous les grands réalisateurs polonais : en 1962, il joue le rôle principal dans l'un des premiers films de Roman Polański, Le couteau dans l'eau. Il sera acteur dans plus de 180 films et peu avant son décès il sera au générique de Inland Empire (2006) de David Lynch. 

La roumaine Silvia Popovici (au centre) avait débuté sa carrière en 1954, elle obtient une première reconnaissance pour son rôle principal dans Darclée (1960), réalisé par Mihai Iacobe, biopic de la soprano brésilienne Hariclea Darclée, qui sera en compétition à Cannes l'année suivante.

Alfred Struve, dans le rôle du sceptique Suko, est un acteur allemand qui a débuté sa carrière au théâtre puis à partir des années soixante, il apparaît dans de nombreuses productions cinématographiques de la DEFA et dans des productions télévisées allemandes.

En Orwo-Color

 

Le film a été tournée avec une pellicule sur négatif de la marque ORWO très célèbre en Allemagne dans les années 70. La marque est créée après la séparation de l'Allemagne au lendemain de la Seconde Guerre mondiale: la société AGFA se divisa en deux entités : Agfa AG, Leverkusen en Allemagne de l'Ouest, et VEB Film und Chemiefaserwerk Agfa Wolfen en Allemagne de l'Est, qui adopta plus tard la marque ORWO.

Le laboratoire de cinéma des studios nationaux roumains de Buftea était habitué à traiter les pellicules Eastman Kodak et n'était initialement pas en mesure de traiter les négatifs ORWO est-allemands. Après avoir recalibré l'équipement, le laboratoire roumain a pu traiter les pellicules ORWO, mais avec un rendu aux contrastes doux qui a plu au réalisateur et au directeur de la photographie. Par conséquent, toutes les séquences tournées par la suite aux studios Babelsberg en Allemagne de l'Est ont été expédiées en Roumanie pour y être traitées.


🎬 LES 3 SCENES CLES DU FILM

Voici les trois moments clés du film Dans la poussière des étoiles (attention spoilers) :

  1. L'arrivée sur TEM 4 (vers la 10ème minute) : les astronautes, dirigés par le commandant Akala, arrivent en réponse à un appel de détresse sur la mystérieuse planète TEM 4. Leur vaisseau est contraint d'atterrir brutalement, posant immédiatement un ton inquiétant.
  2. La fête Témienne (vers la 35ème minute) : les visiteurs sont invités à des célébrations extravagantes organisées par les habitants de TEM 4. La scène où se mêlent les danses érotiques et les effets visuels psychédéliques, sont en fait une volonté de contrôler les esprits des astronautes qui commencent à être manipulés grace à un rayon lumineux sur leur front.
  3. La révélation des esclaves cachés (vers la 70ème minute) : Suko découvre la vérité : les Témiens, en fait le peuple envahisseur de TEM 4 maintient en secret une population opprimée dans une mine : les Turis, population autochtone de la planète. L'équipage devra décider de sa position face à cette découverte.

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PHOTOS

© Tous droits réservés. DEFA - Photographe : Heinz Pufahl 

AFFICHES

CITATIONS

La commandante Akala : "Aucun homme ne doit soumettre un autre homme."


GENERIQUE

Dans la poussière des étoiles (Im Staub der Sterne), Gottfried Kolditz, 1976, Allemagne de l'est.

Autres titres : Révolte dans le cosmos / Revoltă în cosmos (Roumanie), La Guerre des planètes / Krieg der Planeten (Allemagne de l'Ouest), La poussière des galaxies / La polvere delle galassie (Italie)...

Son : Dolby 2.0. Format d'image : 35mm, Couleurs : ORWO-Color.

Réalisateur :  Gottfried KolditzDurée : 1h35.

Productions DEFA-Studio für Spielfilme, Künstlerische Arbeitsgruppe ''Futurum''.

Distribution Allemagne de l'est : Progress Film-Verleih.

Producteur : NC.

Scénario : Joachim Hellwig, Gottfried Kolditz.

Effets spéciaux (sociétés) : Kurt Marks.

Directeur de la photographie : Heinz Pufahl.

Montage : Christa Helwig.

Chef décorateur : Gerhard Helwig.

Direction artistiqueHans-Joachim Schwarz, Peter Zakrzewski.

Décorateur plateau : NC.

Musique : Karl-Ernst Sasse.

Costumes : Katrin Johnsen.

Maquillages : Bernhard Kalisch, Régina Reinhard.

Casting : NC.

Interprètes : Jana Brejchová (la commandante Akala), Alfred Struwe (Suko, le navigateur), Ekkehard Schall (Le chef), Milan Beli (Ronk, chef du centre de surveillance TEM4), Silvia Popovici (Illiki, le médecin de bord), Violeta Andrei (Rall, l'énergéticienne), Leon Niemczyk (Thob, l'analyste), Regine Heintze (Miu, la psychologue), Mihai Mereuta (Kte), Stefan Mihailescu-Braila (Xik), Aurelia Dumitrescu (Chta), Dorin Ganea (Prott), Zephi Alsec (Ingénieur du Hangar), Hans Ulrich Laufer (Premier Ingénieur), Carlo Schmidt (Deuxième ingénieur)...

Date de sortie française : inédit en France.

Date de sortie Allemagne de l'Est (RDA)1 juillet 1976.

Date de l'édition Blu-Ray/DVD Artus Films : 3 Décembre 2024.

Budget estimé : NC.



PLUS SUR DANS LA POUSSIERE DES ETOILES

BOUTIQUE SF-STORY

Artus Films propose une édition Master 2K restauré du film dans un boîtier Digipack 2 volets avec étui. Une édition de très grande qualité éditoriale, devenue une constante chez Artus Films

Détails de l'édition :

- le Blu-ray du film (95'53" en VO sous titrée français uniquement) : qualité d'image parfaite restaurant les couleurs chamarrées des costumes et des décors.

- le DVD du film (92'03")

- le livret "Rouges sont les galaxies" de Christian Lucas (64 pages) **** : le livret propose un panorama de la science-fiction des pays de l'Est (Allemagne de l'Est, Pologne, Tchécoslovaquie...), mais plutot que de lister chronologiquement les films, ils sont abordés de manière thématique : Marx attaque présente les films russes depuis Aelita (1924) jusqu'au Voyage cosmique (1936), sont présentées ensuite les productions du réalisateur hongrois András Rajnai (Les aventures de Pirx), les adaptations cinématographiques de Stanislas Lem (Solaris...), les réalisations du tchèque Jindřich Polák (Ikarie XB1). Pour finir par un panorama complet des productions animées de science-fiction de ces pays.

A noter que la sortie simultanée d'Eolomea toujours chez Artus Films sera l'occasion de découvrir un second livret avec d'autres thématiques sur cette production SF du bloc de l'Est.

Date de sortie : 3 Décembre 2024.

 Détail du Blu-Ray (l'édition DVD est identique)

- le film (95'53"), et en suppléments : 

- Présentation du film Dans la poussière des étoiles par Christian Lucas (2024, 24’02”) : un présentation passionnante qui replace le film dans le contexte de l'époque. Le film fait partie des 4 films du studios de production est-allemand DEFA éditées par Artus Films avec L'étoile du silenceSignal, Eolomea (qui sort aussi le 3 décembre 2024). A voir impérativement avant la vision du film !

- Diaporama : Galerie d’affiches et de photos (2’24”) : le film a eu plusieurs titres et affiches selon les pays d'exploitation (RDA, Pologne, Hongrie...)

- Film-annonce : la bande-annonce originale (2’54”, VO).

 


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