BLADE RUNNER 2049 (2017)

L'histoire

 

En 2049, la société est fragilisée par les nombreuses tensions entre les humains et leurs esclaves créés par bioingénierie.

 

L’officier K est un Blade Runner : il fait partie d’une force d’intervention d’élite chargée de trouver et d’éliminer ceux qui n’obéissent pas aux ordres des humains. Lorsqu’il découvre un secret enfoui depuis longtemps et capable de changer le monde, les plus hautes instances décident que c’est à son tour d’être traqué et éliminé.

 

Son seul espoir est de retrouver Rick Deckard, un ancien Blade Runner qui a disparu depuis des décennies...


L'AVIS DE SF-STORY ****

Blade Runner 2049 n'est pas une suite du film de 1982. Denis Villeneuve assure pourtant, avec l'aide du scénariste originel, la continuité de la mythologie Blade Runner en gardant la vision lancinante  -et fascinante- tout en continuant d’explorer les thèmes de l'intelligence artificielle et de la définition même de l'être humain : étape ultime de l'AI?

 

Apporter une extension cohérente était déjà une gageure, installer le spectateur dans un intrigue policière cyberpunk d'une durée aussi longue en était une autre. La langueur du film est magnifiée par une représentation graphique dans chaque plan qui est une oeuvre à part entière, où le regard prend le temps de se poser et distillant, au fur et à mesure de l'enquête, le questionnement sur la condition du répliquant et sa possibilité d'avoir une âme humaine...

 

Denis Villeneuve a réussi à conserver l'esprit de l’original, porté par un duo d'acteur Gosling/Ford monolithiques et mélancoliques, fantômes erratiques dans un univers métallique d'un noir profond.

HORS-CHAMP*

Le réalisateur Denis Villeneuve (Prisoners, Premier contact...) nous livre une nouvelle vision du futur avec Blade Runner 2049, la suite -difficile- mais très attendue de Blade Runner, considéré comme l'un des grands classiques de la science-fiction. 

 

Définition d'un être humain

 

Qu’est-ce qui définit un être humain ? Telle est la question soulevée par le réalisateur Denis Villeneuve, et les étonnantes réponses proposées par le film, défiant notre conception de ce qu’est l’humanité… et de la direction qu’elle prend. 

 

Ce n’est pas la première fois que la valeur – et les valeurs – de l’humanité sont remises en cause. Il y a trente-cinq ans Blade Runner, réalisé par Ridley Scott et inspiré du roman de Philip K. Dick "Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?", plongeait déjà les spectateurs dans un futur tel qu’ils n’en avaient encore jamais vu, à la fois inédit et étrangement familier. 

À l’époque, personne n’imaginait l’impact qu’allait avoir le film sur la culture contemporaine en inventant un tout nouveau genre cinématographique : le néo-noir cyberpunk. Aujourd’hui, le chef-d’œuvre visionnaire de Ridley Scott est considéré comme l’un des plus grands films de tous les temps. Son influence a été telle qu’elle a dépassé le seul cadre du cinéma pour trouver des échos à la télévision, dans la musique, dans l’art, la mode et même dans des thèses d’université.

 

Plus de trois décennies après, sa suite nous replonge dans l’univers qui a fasciné plusieurs générations de fans : le film n’en est pas moins une expérience cinématographique à part entière. 

 

 

 

Denis Villeneuve, fan du Blade Runnel originel, déclare : « Je me souviens très clairement de la première fois que je l’ai vu. J’ai été époustouflé par ce qui est pour moi l’une des scènes d’ouverture les plus saisissantes de l’histoire du cinéma : un survol du Los Angeles de 2019 où dominent les centrales pétrolières. Ridley Scott donnait à voir un futur dantesque à la fois séduisant et terrifiant."

« Sur le plan esthétique, poursuit-il, Blade Runner était révolutionnaire car il mêlait deux genres qui, à première vue, n’allaient pas ensemble : la science-fiction et le film noir. C’était du jamais vu et cela m’a profondément marqué. Ce film a influencé mon éducation cinématographique avant même que je prenne la décision de devenir réalisateur. »

 

Ridley Scott admet qu’en raison de toutes ces particularités, jamais il n’aurait pu prédire le caractère emblématique qu’allait revêtir le film– l’un des premiers de sa carrière. « On ne pense pas à cela sur le moment, en revanche j’étais tout à fait conscient que nous avions réalisé quelque chose de très spécial. »

 

Ryan Gosling, qui joue le rôle de K, un Blade Runner de la police de Los Angeles, remarque : « Le film original vous hante, il laisse un souvenir indélébile. Il vous oblige à vous interroger sur votre propre conception de la nature humaine, et vous fait douter de votre capacité à distinguer le héros du méchant. Il met en scène une vision cauchemardesque de l’avenir qui est solidement ancrée sur des bases plausibles et donc, paraît tout à fait tangible et vraisemblable. Et pourtant la manière romantique et onirique dont elle est présentée est particulièrement envoûtante. Le temps a démontré la singularité de cette œuvre. »

Scénario

 

Pour envisager une suite à ce film culte, les producteurs Andrew A. Kosove et Broderick Johnson ont rencontré Ridley Scott à Londres, qui a ensuite contacté le scénariste Hampton Fancher, coauteur du film original. Ridley Scott poursuit : « Hampton n’a pas écrit un scénario conventionnel, il a écrit une nouvelle où l’on retrouvait son superbe style de dialogues. Nous avons ensuite fait appel à Michael Green pour en faire un scénario qui a progressivement pris forme. »

 

Lorsque l’opportunité de prendre part à un nouveau Blade Runner s’est présentée à Michael Green, le scénariste, fan du premier film, a immédiatement accepté. Il confie : « Hampton et Ridley avaient déjà mis en place les fondations de ce que pourrait donner un nouveau film et j’ai eu l’extraordinaire chance d’étoffer ces éléments. Le premier film est riche de thèmes fascinants, dont celui de la limitation de la durée de la vie. Parmi les thèmes que nous voulions explorer dans Blade Runner 2049 figurait celui non de la durée, mais de la qualité d’une vie. Les deux films mettent en scène des humains et des réplicants, et bien qu’ils se comportent de la même manière sous bien des aspects, ils ont des origines très différentes car les premiers naissent tandis que les seconds sont créés. La société accorde une valeur bien plus importante aux humains qu’aux réplicants parce que seuls ceux qui sont nés ont une âme. Mais qu’est-ce que l’âme ? Et est-elle uniquement humaine ? »

 

Style visuel

 

Pour le style visuel du film, Denis Villeneuve tenait à rester fidèle à l’esprit de l’original. Il explique : « Mon objectif était d’honorer l’esthétique inspirée du film noir du premier opus tout en conférant à Blade Runner2049 son identité propre. »

 

L’équipe du film a dû imaginer les conditions qui régneraient sur la planète trente ans plus tard. Denis Villeneuve explique : « Blade Runner se déroulait en 2019 et était prophétique à certains égards, mais nous savons déjà que notre avenir proche sera très différent de celui décrit dans le film. Nous avons donc pris la décision de créer notre propre version de 2049 dans le prolongement du premier film. L’univers de Blade Runner 2049 est une extension de celui de Blade Runner, pas de la réalité. »

 

L’esthétique du film a été dictée par cette décision. Dans le premier film, la nature avait quasiment disparu ; trente ans plus tard, la Terre connaît des conditions encore plus hostiles. On retrouve le même genre d’atmosphère oppressante, mais plus pesante encore. L’environnement est encore plus toxique, les océans incontrôlables, les conditions météorologiques sont plus rigoureuses encore, il fait encore plus froid… Le climat est plus invivable encore et cela se reflète dans l’architecture, les véhicules et les costumes. Pour donner vie à cet univers apocalyptique, Denis Villeneuve a fait appel au directeur de la photographie Roger A. Deakins, au chef décorateur Dennis Gassner et à la chef costumière Renée April

 

Esthétique brutale

 

Le tournage s’est entièrement déroulé en Hongrie, se partageant entre les six plateaux des studios Origo à Budapest, les trois plateaux des studios Korda à Etyek, et plusieurs sites à travers le pays.

 

L’équipe du film a pris la décision d’éviter au maximum d’avoir recours aux images de synthèse et aux écrans verts, privilégiant les effets spéciaux physiques et des décors réels. Denis Villeneuve explique : « J’aime travailler dans de vrais décors, avec de vrais objets. Il était très important pour moi de créer un univers tangible afin que les acteurs évoluent dans le monde que nous avions créé plutôt que d’essayer de l’imaginer. Le film nous plonge dans un monde fantastique qui conserve cependant un caractère profondément humain. Finalement c’est une histoire intimiste dans un cadre d’une ampleur saisissante. "

 

Budapest est une ville d'une grande richesse architecturale, où l’Europe de l’Est côtoie l’esthétique "brutaliste" de l’ère soviétique. Ce style a impacté le film et certaines scènes ont été tournées dans les rues de la ville parce que l’architecture correspondait parfaitement à l’esprit du film. « Le mot d’ordre pour le film9, c’est que tout a été conçu autour de la survie, de la technologie à l’architecture. Les bâtiments ont été édifiés pour résister aux conditions météo, donc beaucoup ressemblent à des bunkers. » déclare le chef décorateur Dennis Gassner 

 

Spinners

 

Le film débute par une scène où K se rend dans la ferme de Sapper Morton à bord d’un véhicule que les fans du premier film connaissent sous le nom de Spinner. Dennis Gassner déclare : « C’est le premier élément du film que nous avons conçu. C’est un hommage à l’original, mais dans le contexte du style brutaliste que nous souhaitions." Le superviseur artistique Paul IInglis a souhaité un intérieur usé, marqué et eraflé. 

 

Deux Spinners ont été construits pour K, dont l’un pouvait être conduit et était pourvu de portières à servocommande pouvant s’ouvrir à la verticale. Équipé d’un moteur électrique et d’une direction assistée, il pouvait rouler à 80 km/h. L’autre était conçu pour être suspendu par des câbles afin de simuler le vol, ou monté sur une plateforme à cardan sur grue avec Ryan Gosling à l’intérieur. Des caméras étaient installées derrière l’acteur pour filmer son point de vue à travers le pare-brise, tandis que les essuie-glaces balaient la pluie incessante.

 

Les terres et le corps de ferme chez Sapper Morton ont été édifiés sur le backlot des studios Origo. 

 

Pubs hologrammes 3D

Indissociable du premier film, les gigantesques panneaux électroniques qui diffusent des publicités animées ont été remplacés, trente ans après, par des publicités en hologrammes 3D qui s’adaptent aux passants. Le réalisateur explique « L’idée, était que l’atmosphère est tellement épaisse à Los Angeles en 2049 que l’on peut y projeter des images en 3D. Les pubs ne se déroulent plus sur des écrans géants, elles sont au beau milieu de la foule. Là encore, il s’agit d’une projection de notre monde, d’un prolongement de notre réalité. »

 

En fait, il existe 5 Blade Runner !

Il y a trois courts métrages qui comblent le fossé entre l'original Blade Runner (1982) et cette suite. Blade Runner: Black Out 2022 (2017) est le premier dans l'ordre chronologique, suivi de 2036: Nexus Dawn (2017) et 2048: Nowhere to Run (2017). Black Out 2022 a été réalisé par le réalisateur anime Shinichirô Watanabe, qui est célèbre pour son travail sur The Animatrix (2003) et Cowboy Bebop (1998). Les deux autres films ont été réalisés par Luke Scott, le fils de Ridley Scott. Ces 3 courts métrages de 15', 6' et 5' sont sur les bonus de l'édition Blu-Ray du film.

Scène jamais filmée

La scène d'ouverture dans laquelle K confronte Sapper Morton est un remake quasi exact d'une scène écrite et scénarisée mais jamais filmée pour le Blade Runner original (1982).

 

Plusieurs versions de BR2049 ?

Interrogé sur la possibilité d'un futur montage alternatif du film, le réalisateur Denis Villeneuve a déclaré que le montage sorti au cinéma était la seule et unique version mais d'autres rumeurs parlent d'un premier montage de 4 heures qui auraient pu faire l'objet de deux films distincts ! L'original Blade Runner (1982) est connu pour avoir plusieurs versions différentes au fil des ans, alors quel destin pour Blade Runner 2049?

 

REALISATEUR ET ACTEURS

Denis Villeneuve

 

Denis Villeneuve a réalisé en 2016 Premier Contact, un anti-Independance Day, dans lequel Amy Adams incarnait une linguiste engagée par l’armée pour établir le contact avec des extraterrestres ayant atterri sur Terre. Le film a reçu un accueil critique élogieux et a connu un succès international au box-office, avec entre autres 8 nominations aux Oscars dont ceux du meilleur réalisateur et du meilleur film.

 

En 2015, le réalisateur avait été sélectionné pour la très convoitée Palme d’or du Festival de Cannes pour Sicario, son premier film présenté en compétition, racontant l’histoire d’une femme agent du FBI idéaliste (incarnée par l’actrice primée aux Golden Globes Emily Blunt) confrontée à l’enfer de la zone frontalière avec le Mexique où la drogue, la terreur, l’immigration illégale et la corruption mettront son sens moral à rude épreuve. Auparavant il avait également  connu le succès avec Prisoners, un thriller interprété par Hugh Jackman et Jake Gyllenhaal.

 

Denis Villeneuve travaille actuellement sur une adaptation du classique de la science-fiction écrit par Frank Herbert, Dune, dont il assurera également la mise en scène. 

 

 

BR2049  est interprété par les acteurs nommés aux Oscars Ryan Gosling (La La Land) dans le rôle de K et Harrison Ford (la saga Star Wars, Indiana Jones...), qui reprend celui de Rick Deckard.

La distribution internationale comprend également Ana de Armas (War Dogs), Sylvia Hoeks (Renegades), Robin Wright (Wonder Woman), Mackenzie Davis (Seul sur Mars), Carla Juri (Brimstone) et Lennie James (série The Walking Dead), ainsi que Dave Bautista (Les gardiens de la Galaxie) et l’acteur oscarisé Jared Leto (Dallas Buyers Club).

PHOTOS

© Copyright Sony Pictures / Warner Bros. Pictures. Tous droits réservés. 

AFFICHES


GENERIQUE

Blade Runner 2049 (id.), 2017, Denis Villeneuve, Etats-Unis.

Réalisateur : Denis Villeneuve.

Durée : 2h44 . Son : Dolby Atmos, Auro 11.1 | DTS (DTS: X),  IMAX 6-Track, 12-Track Digital Sound (IMAX 12 track), Dolby Surround 7.1, Sonics-DDP.

Format d'image1.90 (version IMAX ), 2.39 (autres salles).

Productions :  Alcon Entertainment, Columbia Pictures, Scott Free Productions, 16:14 Entertainment, Thunderbird Entertainment, Torridon Films.

Distribution : Sony Pictures Releasing  (France)

Producteurs : Broderick Johnson, Andrew A. Kosove, Cynthia Sikes, Bud Yorkin.

Co-producteurs : Dana Belcastro, Carl Rogers, Steven P. Wegner.

Producteurs exécutifs :  Yale Badik, Bill Carraro, Tim Gamble, Frank Giustra, Val Hill, Ian McGloin (co-exécutif), Ridley Scott.

Sociétés d'effets spéciaux Filmefex Studio, Professional Vision Care Associates, Double Negative, Framestore, Moving Picture Company (MPC), 

BUF, Universal Production Partners (UPP) , Rodeo FX, Atomic Fiction, Weta Workshop,  Institute for Creative Technologies at the University of Southern California, Dimensional Imaging (DI4D), Mensor3D, Digic Photoscan, Plowman Craven & Associates, Cantina Creative, Stereo D, Digital Monarch Media.

Directeur de la photographie : Roger Deakins.

Montage : Joe Walker.

Directeur de production : Dennis Gassner.

Scénario : Hampton Fancher et Michael Green, d'après une histoire de Hampton Fancher basé sur les personnages du roman  "Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?" ("Do Androids Dream of Electric Sheep?") de Philip K. Dick.

Musique Benjamin Wallfisch et Hans Zimmer.

Production artistiqueDavid Doran, Bence Erdelyi, Lydia Fry, Paul Inglis (superviseur), Rod McLean, Stefan Speth.

CastingZsolt Csutak, Francine Maisler, Lucinda Syson.

Costumes : Renée April.

Décorateur plateauAlessandra Querzola.

Interprètes (dans l'ordre d'apparition) :  Ryan Gosling ("K"), Dave Bautista (Sapper Morton), Robin Wright (Lieutenant Joshi), Mark Arnold (L'interviewer), Vilma Szécsi (Vieille femme en colère), Ana de Armas (Joi), Wood Harris (Nandez), David Dastmalchian (Coco), Tómas Lemarquis (File Clerk), Sylvia Hoeks (Luv), Edward James Olmos (Gaff), Jared Leto (Niander Wallace), Sallie Harmsen (Femme Replicant), Hiam Abbass (Freysa), Mackenzie Davis (Mariette), Krista Kosonen (Doxie #2), Elarica Johnson (Doxie #3), André Lukács Molnár (Memory Child), István Göz (Scavenger #1), Pál Nyári (Scavenger #2), Joshua Tersoo Allagh (Scavenger #3), Zoltán Béres (Scavenger #4), Konstantin Pál (Scavenger #5), Ferenc Györgyi (Scavenger #6), Samuel Brown (Enfant à l'orphelinat), Lennie James (Mister Cotton), Carla Juri (Dr. Ana Stelline), Kincsö Sánta (Birthday Girl), Barkhad (Doc Badger), Harrison Ford (Rick Deckard), Ben Thompson (Elvis Look-A-Like), Suzie Kennedy (Marilyn Look-A-Like), David Benson (Liberace Look-A-Like), Stephen Triffitt (Sinatra Look-A-Like), Sean Young (Rachael), Loren Peta (Rachael Performance Double)

Sortie États-Unis : 3 Octobre 2017.. 

Sortie française : 4 Octobre 2017.

 



PLUS SUR BLADE RUNNER 2049


BOUTIQUE SF-STORY

Blade Runner 2049 [4K Ultra HD + Blu-ray 3D + Blu-ray + Digital UltraViolet]

 

Audio : Anglais, Français

Sous-titres : Français, Anglais

Nombre de disques : 3

Studio : Sony Pictures

Date de sortie du DVD : 14 février 2018

Durée : 163 minutes

 

Contient :

 

- l'Ultra HD Blu-ray 4K du film (en HDR)

- le Blu-ray 3D active du film (VF/VOST Dolby Digital 5.1)

- le Blu-ray 2D du film (VF/VOST DTS-HD MA 5.1)

- la copie digitale du film au format UltraViolet 

 

Contenu additionnel :

Blu-ray 2D :

"Concevoir le monde de Blade Runner" (21'52")

"Blade Runner 101" : 6 documentaires inédits (32'14")

"De 2019 à 2049", 3 courts métrages :

- "2022 : Blackout" (15'43")

- "2036 : Nexus Dawn" (6'30")

 

- "2048 : Nowhere To Run" (5'47")



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