SEVEN SISTERS (2017)

L'histoire

En 2073, la Terre est surpeuplée.

 

Le gouvernement décide d’instaurer une politique d’enfant unique, appliquée de main de fer par le Bureau d’Allocation des Naissances, sous l’égide de Nicolette Cayman.

 

Confronté à la naissance de septuplées, Terrence Settman décide de garder secrète l’existence de ses 7 petites-filles. Confinées dans leur appartement, prénommées d’un jour de la semaine, elles devront chacune leur tour partager une identité unique à l’extérieur, simulant l’existence d’une seule personne : Karen Settman.

 

Si le secret demeure intact des années durant, tout s’effondre le jour où Lundi disparaît mystérieusement…

 


L'AVIS DE SF-STORY ****

Seven Sisters renoue avec la dystopie intelligente jalonnée par des œuvres comme Soleil Vert ou Le Fils de L'homme. L'histoire tout d'abord, aux allures de conte de fées, est novatrice et passionnante. Dans un monde où le manque de ressources a eu pour conséquence une baisse de la fertilité et une gestion militarisée des naissances :  la directive de l'enfant unique (qui n'est pas sans rappeler la politique de naissance chinoise) un couple met au monde sept filles ... Sauf que dans cette société futuriste, les scientifiques ont réglé le problème des éventuels enfants en surplus : ils sont cryogénisées en attendant des jours meilleurs...

 

Le rebelle Terrence Settman (Willem Dafoe) , le grand-père, décide de les élever confinées dans un appartement, en les conditionnant à un ensemble de règles assurant leur survie. Chacune héritera d'un prénom correspondant à un jour de la semaine, elles adopteront toute l'identité commune de Karen Settman (le patronyme de leur mère) et sortiront  dans le monde extérieur en se servant de cette couverture lors de la journée qui correspondra à leur prénom. Le monde entier (et surtout les autorités) ne croira donc qu'à l'existence d'une seule et même personne.

 

Trente plus tard, les sept soeurs continuent à suivre ce code de conduite mais lorsque l'une d'entre elles ne rentre pas à la maison après sa sortie quotidienne, c'est le début de la déliquescence de la fratrie...

 

Visiblement inspirée des contes de Grimm, l'histoire est touchante, associée à ce monde dystopique et archaïque. Le grand-père materne ses petites-filles est lance au quotidien un petit Poucet préparé à l'aventure, armé de cailloux dans son panier,  pour affronter le monde extérieur hostile.

 

Le choix de Noomi Rapace pour incarner les sept sœurs et sa capacité à les incarner toutes avec des caractères et des attitudes bien distinctes est l'une des réussites du film. Le réalisateur Tommy Wirkola a su aussi, en plaçant deux "gueules" d'affiches, Willem Dafoe et Glenn Close, contrebalancer l'omniprésence de l'actrice en apporteront une crédibilité à leurs rôles malgré de courtes apparitions.

 

Même si le récit perd en route un peu de force dans un jeu de course/poursuite spectaculaire mais pas essentiel,  Seven Sisters est une des vrais réussites SF de 2017 et Noomi Rapace, une vraie révélation d'actrice... 

 

HORS-CHAMP*

Traduction originale

 

Seven Sisters a été tourné par le  réalisateur norvégien Tommy Wirkola en 94 jours et entièrement en Roumanie.  Le titre "Seven Sisters" n'est pas le titre original mais le titre français (!), il est sorti en salles aux US sous le titre : "What Happened to Monday ?", ce qui signifie en français "Qu'est-il arrivé à Lundi  ?" ('une des 7 sept sœurs).

 

Les 60 premiers jours de tournage ont été entièrement consacrés aux scènes de Noomi Rapace, jouant seule face à elle-même. Les sœurs partagent une identité commune – celle de la très professionnelle Karen Settman, femme brillante et impassible qui leur sert de couverture. L'objectif de Karen est de se fondre dans la masse et de ne pas attirer l'attention du Bureau du Quota d’Enfants. C'est elle qui assure le soutien financier de la famille Settman et lui permet de subsister. 

 

Un scénario féminisé

 

Le scénario original de Seven Sisters a figuré sur la célèbre Blacklist des scénarios les plus prometteurs. Max Botkin, le scénariste, a eu l'idée du concept en 2001 mais envisageait alors des frères jumeaux. Lorsque le réalisateur Tommy Wirkola a pris en main le projet, il s'est dit que les remplacer par des femmes apporterait une dynamique plus intéressante, et lui qui avait toujours admiré les prestations de Noomi Rapace a parié qu'elle serait capable de relever le défi d'incarner les sept sœurs. Tommy Wirkola a alors appelé l'actrice et lui a proposé de suggérer son nom aux producteurs pour le rôle principal. Max Botkin qualifie l'idée de "coup de génie".

 

Raffaella De Laurentiis et son responsable de production Matthew Feitshans avaient pris une option sur les droits du scénario de Max Botkin : CAA l'a mis sur le marché et Vendôme Pictures s'en est emparé.

 

Lorsque le film est devenu une coproduction européenne, la productrice Kerry Williamson s'est chargée des révisions, et quand Noomi Rapace et Glenn Close ont donné leur accord, SND a accepté de financer entièrement le film.

 

"Kerry s'est embarquée dans l'aventure quand on a décidé que les personnages principaux seraient des femmes", rapporte le réalisateur Tommy Wirkola. "On a discuté avec pas mal de scénaristes, et c'est Kerry qui nous a tout de suite convaincus. Elle avait d'excellentes idées et un point de vue original sur le film. Elle a grandi dans une famille nombreuse, ce qui était à la fois amusant et essentiel vu ce qu'elle allait écrire", relève-t-il. "On a travaillé d'arrache-pied sur les sept personnages principaux pour les rendre crédibles. Il aurait été plus difficile de différencier sept hommes qui passent leur temps ensemble. Ce qui nous a pas mal occupés, c'était de faire en sorte que les spectateurs soient capables de distinguer les sept sœurs. On s'est aussi attaché à peaufiner le personnage de Nicolette Cayman pour qu'elle soit plus réaliste et moins caricaturale. Avec une actrice comme Glenn Close, il fallait lui donner de la matière à exploiter. Et puis on a étoffé le rôle du personnage de Terrence, le grand-père, joué par Willem Dafoe", conclut Tommy Wirkola. 

 

 

 A chaque sœur son caractère

 

Au delà du look visible, chaque soeur a un caractère bien marqué :

- Lundi est extrêmement intelligente, sophistiquée, élégante, forte, calme, ambitieuse et motivée. Elle est chargée d'affronter le pire jour de la semaine : le lundi.

- Mardi est une jeune femme un peu 'New Age', décontractée.

- Mercredi est sportive, fougueuse, forte, sûre d'elle, un peu agressive – et elle sait se battre.

- Jeudi est la rebelle de la bande. Elle ne rêve que de liberté mais elle aime profondément ses sœurs et elle prend les commandes de l'opération.

- Vendredi est une jeune femme introvertie, un petit génie de la technologie, des maths et des sciences. C'est le cerveau de l'opération.

- Samedi est extravertie : elle adore faire la fête, elle est drôle, impertinente, et on voit bien qu'elle n'a jamais travaillé de sa vie.

- Dimanche est douce, pratiquante et pleine de compassion.

Lundi et Jeudi sont les deux sœurs qu'on remarque le plus. Toutes les deux rêvent du jour où elles pourront vivre librement, mais elles se disputent souvent à ce propos ainsi qu'au sujet des règles qui régissent leur vie quotidienne. 

 

Noomi Rapace a cherché à élaborer la spécificité de chacune des sœurs avec l'aide du réalisateur. "Tommy et moi avions un peu l'impression d'être des parents qui donnent naissance aux sœurs, qui construisent leurs personnages".

 

L'actrice a collaboré avec Gianetto De Rossi à l'élaboration des coiffures et du maquillage pour chacune des sœurs, et de leur style vestimentaire avec la chef-costumière Oana Paunescu. "Grâce aux costumes, le corps s'adapte aux contraintes physiques du rôle, et les différentes coiffures et le maquillage permettent d'incarner chacun des personnages", confie l'actrice. "Quand on me maquille pour me transformer en Lundi par exemple, c'est tout mon visage qui change. C'est une transformation émotionnelle et psychologique qui va jusqu'à modifier les expressions de mon visage. C'est le fruit d'un savant mélange entre mon jeu, la direction d'acteur de Tommy, le scénario, la coiffure, le maquillage et les costumes, et puis mon monde intérieur, mes émotions, mes sentiments, mes réflexions", conclut-elle.

Création d'un univers alternatif 

 

Mark Botkin, le scénariste a imaginé un futur proche. Ici, il s'agit de sept vraies jumelles "plongées dans un contexte qui exacerbe la force dramaturgique du film", comme l'indique le scénariste. "Je me suis demandé ce qui pourrait se passer si on se retrouvait confiné dans un espace réduit avec six autres personnes, sans pouvoir circuler librement, ni habiter avec qui que ce soit d'autre, ni aimer la personne de son choix, ni se comporter comme on l'entend en public. Un monde n'autorisant qu'un seul enfant par famille où le Bureau du Quota d’Enfants fait appliquer la loi

d'une main de fer".

Il poursuit : "J'adorais l'idée de ces sept femmes qui n'ont aucun secret l'une pour l'autre et qui partagent les moindres détails de leur quotidien. Elles se complètent parfaitement comme les pièces d'un puzzle, si bien que la disparition de l'une d'entre elles ne peut que susciter l'angoisse et le chaos".

 

L'univers où évoluent les sœurs Settman est intriguant parce qu'il est une projection du nôtre dans un futur proche. "Il comporte des points de repère auxquels on peut facilement se raccrocher et il rappelle 1984 d'Orwell", ajoute Botkin. "La surpopulation et l'assèchement des ressources permettant d'assurer un renouvellement des générations sont les deux plus graves problèmes que le monde ait à affronter. C'est un horizon qui pourrait devenir le nôtre si l'on continue à piller les ressources naturelles, que la population ne cesse d'augmenter et de s'entasser ou de migrer dans les grandes villes".

 

"Au fond, ce film parle avant tout de ce que l'être humain est prêt à endurer pour survivre",  constate le scénariste. "Est-il préférable de vivre, même en étant privé de liberté, que de ne pas vivre du tout ? La vie vaut-elle la peine d'être vécue si on ne peut pas être en accord avec ses principes ? À quel moment la donne bascule-t-elle pour chacun d'entre nous ? Si on ne supporte plus de vivre enchaîné, qu'est-on prêt à faire pour recouvrer sa liberté ?"

"Le film parle d'identité et de la nécessité de se forger une personnalité propre quand le monde vous enjoint à vous soumettre au diktat du plus grand nombre, faute de ne même pas reconnaître votre existence", reprend-il. "C'est donc un rare mélange de pur divertissement et de réflexion sociale audacieuse. J'espère sincèrement qu'il suscitera un débat sur ses thématiques à la fois actuelles et universelles et qu'il sera apprécié pour son côté polar, son style visuel flamboyant et son rythme trépidant".

 

 

SFX

Le défi principal à relever pour les effets spéciaux résidait dans les scènes impliquant plusieurs sœurs. L'équipe a eu recours à différentes techniques en fonction des plans : "L'une des premières choses que j'ai dite aux producteurs avant de commencer, c'était qu'il me faudrait beaucoup de temps", rapporte Tommy Wirkola.

 

"Le tournage a été long, parce qu'on avait besoin de temps : il y avait les changements de maquillage, mais aussi l'aspect purement technique, il fallait s'assurer que tout fonctionne, et travailler avec un dispositif de contrôle de mouvement requiert beaucoup de minutie et est particulièrement chronophage. On a mis au point un système de tournage inédit parce qu'on a allié plusieurs méthodes : par exemple, on a greffé un visage sur un autre, on a eu recours au split-screen, on a utilisé des caméras fixes et des doublures, et comme Noomi a des traits caractéristiques, on a moulé des masques à partir de son visage pour les scènes où les sœurs sont en arrière-plan, affairées sur leur ordinateur, à faire la cuisine ou du sport".

 

L'équipe a ensuite utilisé un dispositif de contrôle de mouvement appelé Revolver qui a été poussé au maximum de ses capacités. Le chef-opérateur Jose David Montero, explique la difficulté de dupliquer les sœurs jumelles : "Dans un film traditionnel, on peut se permettre de tricher sans arrêt avec la lumière et l'arrière-plan. Mais ici, c'est impossible parce qu'une fois qu'on stabilise la caméra et qu'on augmente la luminosité, on ne peut plus rien toucher jusqu'à la fin de la séquence. Avec l'effet de duplication et les différentes couches qui se superposent, si on change quoi que ce soit, ça ne fonctionne plus, et il faut tout recommencer, ce qui nous fait prendre un retard monstre. L'autre difficulté, c'est de tourner dans un espace clos et restreint. On veut donner l'impression que les plafonds ont des profondeurs dissimulées, si bien que l'espace rétrécit. Il nous fallait trois caméras, parfois quatre, un fond vert, un fond bleu, et de l'éclairage. Autant dire que c'était très compliqué de gérer tout ça en même temps".

 

Le superviseur des effets visuels Bryan Jones étudiait le storyboard pour la plupart des scènes, avec le 1er assistant réalisateur et le directeur de la photographie : "On réfléchissait à l'ordre le plus judicieux pour tourner les scènes, puis on faisait venir Noomi pour qu'elle nous montre ce qu'elle avait l'intention de faire, et à partir de là on s'assurait que tout fonctionne, que les caméras soient adaptées aux mouvements. Quand je n'étais pas sur le plateau, je m'attaquais aux prises de la journée et je les mettais bout à bout sur mon ordinateur pour m'assurer qu'on avait tout ce qu'il fallait".

 

Lorsque Noomi Rapace passe d'un personnage à un autre, elle a un rituel bien à elle qui l'aide à faire la transition : "Je me démaquille moi-même et je me lave le visage avant d'aller voir Gianetto et Mirella et d'entrer dans la peau d'un nouveau personnage. Je prends toujours du temps pour moi, comme ça quand le maquillage est terminé et que j'arrive sur le plateau, je suis dans la peau de mon personnage. C'est tout un processus émotionnel, qui s'est avéré plus nature et plus instinctif que je ne l'avais imaginé". 

REALISATEUR ET ACTEURS

Tommy Wirkola

 

Né en 1979 dans le nord de la Norvège, Tommy Wirkola a fait ses débuts de réalisateur avec Kill Buljo en 2007 : parodie à petit budget de Kill Bill, ce film permet au jeune metteur en scène de se faire remarquer et d'obtenir ensuite le budget pour Dead Snow (2009) qu'il coécrit et réalise. Présenté au festival de Sundance, ce deuxième long métrage devient une œuvre

culte du cinéma d'horreur et reçoit quatre nominations aux Scream Awards.

 

Wirkola enchaîne avec Hansel & Gretel : Witch Hunters (2013), avec Jeremy Renner et Gemma Arterton. Le film génère plus de 225 millions de dollars de recettes mondiales. Puis, il tourne Dead Snow 2 (2014), présenté au festival de Sundance et plébiscité par la critique : le film décroche le prix du public dans la catégorie "After Dark" à Toronto et les prix du meilleur réalisateur et

du meilleur scénariste au festival PIFAN en Corée du Sud.

 

Il écrit actuellement le scénario d'Ireedeemable, film de super-héros qui sera réalisé par Adam McKay. Il planche également sur le pilote de l'adaptation sous forme de série de Hansel & Gretel : Witch Hunters.

 

Noomi Rapace  

 

C'est l'actrice suédoise Noomi Rapace  L'actrice a été révélée en 2009 dans le film Millenium  : Les hommes qui n'aimaient pas les femmes, qui relève le défi d'incarner à elle seule les sept sœurs jumelles Settman : Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi et Dimanche, élevées en secret

par leur grand-père.

 

Noomi Rapace a entamé sa carrière d’actrice à l’âge de 7 ans, dans le film islandais L'ombre du corbeau. Depuis, elle est apparue dans une vingtaine de films et séries télévisées. En 2007, elle s’est distinguée sur grand écran grâce à sa prestation dans le film danois Daisy Diamond. Elle y interprète une mère adolescente perturbée qui quitte son domicile pour poursuivre un rêve, sombrant finalement dans une dépression dont les conséquences serontfatales. Pour son interprétation, elle a remporté un Bodil Award (Prix de la Critique danois) et le Robert Award (Oscar danois) de la meilleure actrice. 

Noomi Rapace a été saluée pour son interprétation fascinante et dérangeante dans Millenium, le rôle qui l’a révélée, elle a remporté le Guldbagge Award (Oscar suédois) de la meilleure actrice et le Jupiter Award (Allemagne) de la meilleure actrice, en

plus d’être nommée au Bafta Award et à l’European Film Award de la meilleure actrice.

 

Noomi Rapace a ensuite été plébiscitée pour ses interprétations dans le deuxième et le troisième volet de la trilogie, Millénium 2 - La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette et Millénium3- La reine dans le palais des courants d'air.

 

On l'a encore vue dans Enfant 44 de Daniel Espinosa, avec Tom Hardy, Gary Oldman, Joel Kinnaman et Jason Clarke, Quand vient la nuit de Michaël R. Roskam, avec Tom Hardy et James Gandolfini, Dead Man Down de Niels Arden Oplev, avec Colin Farrell, Sherlock Holmes- Jeu d'ombres  de Guy Ritchie, avec Robert Downey Jr. et Jude Law, et Passion de Brian De Palma, avec Rachel McAdams et Karoline Herfurth.

 

On l’a également vue en Suède dans le premier film réalisé par Pernilla August, Beyond/Svinalängorna. Le film a été présenté au Festival du Film de Venise 2010 et y a remporté le Prix de la Semaine de la critique. La comédienne a remporté le Guldbagge Award pour sa prestation. La même année, elle s'est produite dans le thriller norvégien de Pål Sletaune, Babycall, qui lui a valu le Prix d’interprétation féminine du Festival du Film de Rome en 2011.

Elle est à l’affiche actuellement de Conspiracy de Michael Apted, avec Michael Douglas et Orlando Bloom, autour d'une interrogatrice de la CIA mise sur la touche après avoir échoué à faire parler un prisonnier et éviter la mort d'innocents dans un attentat.

 

Elle est aussi à l'affiche d'Alien : Convenant de Ridley Scott, avec Michael Fassbender et Katherine Waterson. On la retrouvera bientôt dans Rupture de Steven Shainberg, aux côtés de Peter Stormare et Kerry Bishe.

On la verra ensuite dans Bright de David Ayer, avec Will Smith et Joel Edgerton, autour d'un monde peuplé d'humains et de créatures fantastiques, et Ferrari de Michael Mann, avec Hugh Jackman. Elle tournera prochainement dans Stockolm de Robert Budreau, avec Ethan Hawke, inspiré du braquage d'une banque et de la prise d'otages retentissante, survenues à Stockholm en 1973. Enfin, elle jouera dans Close de Vicky Jewson, d'après l'histoire vraie de la garde du corps Jacquie Davis.

 

Parmi les seconds rôles de Seven Sisters, on trouve Glenn Close sous les traits de Nicolette Cayman, qui gère le Bureau du Quota d’Enfants, et Willem Dafoe qui incarne Terrence Settman, le grand-père. 

 


GENERIQUE

Seven Sisters (What Happened to Monday), 2017, Tommy Wirkola, Belgique, États-Unis, France, Royaume-Uni .

Réalisation : Tommy Wirkola

Son : Dolby Digital (5.1).

 

Durée : 2h03.

Scénario : Max Botkin et Kerry Williamson

Producteurs éxécutifs : Thierry DesmichelleGuy Stodel

Producteurs : Raffaella De Laurentiis, Fabrice Gianfermi, Philippe Rousselet

Co-producteurs : Max Botkin, Serge de Poucques, Sylvain Goldberg, Nadia Khamlichi, Adrian Politowski, Gilles Waterkeyn, Kerry Williamson.

Montage : Martin Stoltz

Photographie : José David Montero

Musique : Christian Wibe

Directeur de production : Joseph A. Hodges

Costumes : Oana Paunescu

Décors : Joseph A. Hodges

Production : Raffaella De Laurentiis, Fabrice Gianfermi et Philippe Rousselet

Sociétés de production : Nexus Factory, Raffaella Productions, Title Media, Vendome Pictures et SND Films (coproductions), Umedia.

Sociétés de distribution : Netflix (États-Unis), SND (France)

Sociétés d'effets spéciaux : Umedia VFX , Film FX , Hub & Spoke , Le Compagnie Generale des Effets Visuels , Villains Wear Black , Troll FX , BotFX , Toolbox Studio, Benuts.

 

Langue d'origine : anglais

Dates de sortie : Suisse : 6 août 2017 (Festival international du film de Locarno 2017), États-Unis : 18 août 2017 (Netflix) et France : 30 août 2017

Film Interdit aux moins de 12 ans en France.

Sortie Blu-Ray/DVD : 30 Décembre 2017.

Interprètes : Noomi Rapace (Les sœurs Settman) ,  Glenn Close (Nicolette Cayman), Willem Dafoe (Terrence Settman), Marwan Kenzari ... Adrian Knowles, Christian Rubeck (Joe), Pål Sverre Hagen (Jerry), Tomiwa Edun (Eddie), Cassie Clare (Zaquia), Cameron Jack (Dutch), Clara Read (les sœurs jeunes), Kirsty Averton (Mia), Lucy Pearson (Vicky), Nadiv Molcho (le jeune docteur), Elijah Ungvary (Erickson)...

 



BOUTIQUE SF-STORY

Seven Sisters [4K Ultra HD + Blu-ray]

 

Audio : Anglais (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 2.0), Français (DTS 5.1), Français (DTS-HD 2.0)

Sous-titres : Français

Rapport de forme : 2.35:1

Nombre de disques : 2

Studio : M6 Vidéo

Date de sortie du DVD : 30 décembre 2017

 

Contient :

- l'Ultra HD Blu-ray 4K du film (en HDR)

- le Blu-ray du film

 

 Contenu additionnel : Dans les coulisses - Rencontre avec Noomi Rapace - Les effets spéciaux



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